Japon : aux racines du tatouage
Le Japon est un hot spot du tatouage que l’on ne présente plus, mais sur lequel il y a toujours autant de choses à écrire, raconter, découvrir ou redécouvrir....Le Japon est un hot spot du tatouage que l’on ne présente plus, mais sur lequel il y a toujours autant de choses à écrire, raconter, découvrir ou redécouvrir. Et aujourd’hui, je vous emmène là-bas pour voir l’exposition, « Jômon Tribe », consacrée au tatouage.
La galerie TAV expose le travail de l’artiste tatoueur Oshima Taku, spécialisé dans le tatouage tribal et obsédé par la couleur noire. Il a réalisé cette exposition avec la photo-journaliste Ryoichi « Keroppy » Maeda qui bosse sur les modifications corporelles — n’hésitez pas à aller faire un tour sur son site internet car cela mérite aussi le détour !
Mais revenons à nos moutons encrés ! Les deux larrons ont donc remonté le temps pour découvrir, et surtout tenter d’imaginer à partir de différents éléments historiques comme par exemple des poteries, les tatouages portés par les premiers habitants de l’île !
Le cœur de leurs recherches, sans vouloir me la jouer professeur d’histoire, était l’ère Jômon qui va de – 15 000 à – 300 avant Jésus-Christ.
À cette époque, les chasseurs-cueilleurs portaient des tatouages qui recouvrent tout le dos et les jambes, mais le plus simple est d’en prendre plein les mirettes en regardant, et je pèse mes mots sans vouloir être dithyrambique, les époustouflantes photographies ci-dessous !