Un tatouage contre des burgers à vie
Le restaurant australien, Cafe 51, propose un deal pour le moins inattendu en utilisant le tatouage pour faire connaître ses hamburgers. Les clients qui auront un tatouage permanent ressemblant...Le restaurant australien, Cafe 51, propose un deal pour le moins inattendu en utilisant le tatouage pour faire connaître ses hamburgers.
Les clients qui auront un tatouage permanent ressemblant à leur burger préféré cuisiné par l’établissement, tout du moins ceux qui relèvent le challenge de cette opération de communication, pourront manger gratuitement — et à vie — leur mets adoré.
Bon, il faut reconnaître que les burgers peuvent parfois êtres vraiment énormes et mastoc. Si les clients les plus gourmands veulent l’emporter haut la main, ils doivent tout de même respecter certaines conditions comme par exemple celles énumérées : le tatouage doit correspondre à la taille des burgers confectionnés par le restaurant, le logo de leur slogan (« BurgerLove ») doit être visible, et naturellement, les personnes ne peuvent arborer qu’un seul tatouage de burger, c’est important de le préciser car certains petits malins pensaient peut-être pouvoir cumuler cette offre commerciale pour le moins appétissante ! Et quelques furieux, comme on peut le constater sur le compte Instagram du restaurant, sont déjà allés chez un tatoueur pour pouvoir déguster leur burger offert à vie !
#wip #burgertattoo @stkildaink with @burgereaters for the @theprojecttv #livenow #burgereater #burgerlove #freeburgers4life #🍔❤️ Une photo publiée par #🍔❤️ (@burgerlove_aus) le
#burgersandtattoos live now for @theprojecttv tonite from @stkildaink #freeburgers4life with @burgereaters #burgereater #freeburgers4life #livenow #burgerlove #🍔❤️ Une photo publiée par #🍔❤️ (@burgerlove_aus) le
Ceux qui veulent participer doivent remplir un formulaire rappelant les termes de ce concours sans frontières qui est ouvert à tout le monde.
Mais bon, derrière ce délire ou plutôt cette opération de communication numérique, sans vouloir jouer au chieur, on peut s’interroger si ce genre de démarche ne vide pas le tatouage de son sens, ne le rend pas un brin trop superficiel ?